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Les forces de l'Eglise, Amessa et les territoires sous son contrôle

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Les forces de l'Eglise, Amessa et les territoires sous son contrôle Empty Les forces de l'Eglise, Amessa et les territoires sous son contrôle

Message  La Sainte Église Mar 21 Oct 2014, 20:07

Les paladins :

De toutes les castes guerrières du monde connu il en est une dont tous, humain ou monstre, croyants ou laïcs, quelle que soit leur culture, ont entendu parler : les paladins. Ces hommes choisis dès le berceau par des inquisiteurs ou d'autres paladins, voient tout lien avec leur famille d'origines réduit à néant et sont dès les premières années de leurs vies formés à la tâche qui sera leur. Ils apprennent le dogme de l'Eglise d'Amessa, les credo de l'ordre dont ils feront partie jusqu'à la fin de leur vie, la menace que constituent les monstres, mais surtout, plus que tout, ils apprennent le maniement de l'épée et de la lance, entre autres armes, ainsi que le port de l'armure lourde, la stratégie et des rudiments en magie sacrée et de soins. Dans cette formation, la réussite est la seule option possible, les plus faibles ne survivant pas à l’entraînement, conformément, selon eux, à la volonté des dieux.

Ainsi les paladins sont, une fois ce titre acquis, de redoutables combattant aussi bien individuellement qu'en groupe, et nul ne sait mieux qu'eux comment éliminer les créatures, en particulier les plus redoutables tels les démons, les revenants et les dragons dont ils connaissent toutes les faiblesses. La principale critique qui leur est adressée sur le plan militaire est leur manque d’unité, de par l’existence de nombreux ordres. Seulement, s'il est vrai que chacun de ces groupes, plus ou moins influents, ont des croyances et des objectifs différents, leurs motivations profondes se rejoignent et il n'a jamais, à ce jour, été fait mention de dissension entre les ordres de paladins. Les quelques rares cas de duel ayant eu lieu se sont toujours produits car l'un des deux hommes s'étaient fait parjure aux yeux de son propre ordre !

Ces différences par ailleurs s'avèrent plutôt un atout pour l'Eglise, puisque cela permit une dispersion efficace de cette puissante force sans avoir de chaîne de commandement ou de communication qui puisse être brisée. Ainsi les paladins peuvent aussi bien dédier leurs vie à traquer tout monstre, quel qu’ils soient, que la vouer à errer à travers les pays pour protéger les populations humaines de toute menace, ou encore à servir directement le clergé en étant les gardes du corps des inquisiteurs et d’autres autorités religieuses. Il est à noter cependant une certaine hiérarchie entre les ordres et ainsi les plus connus sont ceux du Poing d'argent, pour avoir terrassé le terrible démon Overlord il y a de cela des siècles et avoir persisté dans leur tâche sans faiblir depuis ce temps, et celui de la Croix radieuse, dont l’organisation diffère en cela qu’il regroupe les membres les plus puissants de l'ensemble des ordres et forme ainsi la garde rapprochée du pape.

Les inquisiteurs :

Lorsque les clercs s'engagent, à tout âge, dans les ordres ils se doivent de choisir entre trois voies. La première consiste en la vénération des divinités et à l’application stricte de leurs paroles. Ceux empruntant cette voie deviennent des moines. La seconde amène celui qui s'y engage à prêcher la parole auprès des fidèles et à les mener sur la voie voulu par les dieux. Ce sont les prêtres. Quant à la dernière, elle est pour ceux qui souhaitent être le bras armés des divinités, ceux qui appliqueront leurs jugements et leurs châtiments aussi bien auprès des hommes que des monstres. Ces derniers, ce sont les inquisiteurs.

Une fois que les clercs se sont engagés sur cette voie, ils continuent leur apprentissage des écrits saints, mais à cela s'ajoute un enseignement de la justice, du combat à l'arme courte et à mains nues, ainsi qu'un enseignement poussé de la magie divine pour ceux qui possèdent le potentiel nécessaire à cela. Ils apprennent également les us et coutumes des monstres, afin de connaître leur ennemi et d’être à même de le démasquer. Une fois leurs formations finies, ils sont placés sous l'autorité du grand inquisiteur du lieu et reçoivent leurs instructions de lui seul, hormis bien sûr le pape. Les inquisiteurs ont ainsi des prérogatives judiciaires et peuvent enquêter de la façon dont ils jugent la plus appropriée, sans représailles si ce n'est de leurs pairs ou des ennemis de la foi (du moins ceux assez fous pour affronter les deux paladins qui les protègent la plupart du temps).

Les inquisiteurs forment une sorte d'étape intermédiaire entre le bas et le haut clergé. Tous les membres de ce groupe peuvent ainsi donner des ordres aux moines et aux prêtres et s’attribuer temporairement leurs offices religieux, mais ils n'ont aucune autorité sur les évêques et les archevêques. En théorie, ces derniers n’ont pas plus d’autorité sur eux, bien qu’en pratique les inquisiteurs suivront leurs ordres s'ils ne vont pas à l'encontre des instructions de leurs supérieurs directs.

L’intérêt de cette indépendance réciproque est que les évêques et archevêques ont le pouvoir nécessaire pour empêcher les inquisiteurs de puiser de façon déraisonnable dans les ressources des populations pour accomplir leur tâche, tandis que les inquisiteurs s'assurent de leur côté que les manigances des prélats sont bien dans l'intérêt de l’Église et non pas dans celui de l'individu. Ce double contrôle a entraîné au fil des années des inimités croissantes entre les deux groupes, qui ne s'acquittent que d'autant mieux de leur tâche !

Cependant s'il est un domaine où ils se rejoignent et même s’allient la plupart du temps c'est l'extermination des monstres ! Il est d’ailleurs à noter que, de plus en plus, les inquisiteurs sont formés à l'usage de la technologie et en particulier des armes à feu, bien qu'encore peu d'entre eux en possèdent de façon permanente

La garde sainte.

De par leur autonomie, inquisiteurs et paladins ne forment pas l'épine dorsale des forces armées de l'Eglise. Ce rôle est donc assuré par la garde sainte. Au service direct des évêques et archevêques, ces hommes sont choisis parmi les gardes et soldats des terres administrés par les prélats. Choisis de préférence pour leur ferveur religieuse et leurs aptitudes guerrières, ils reçoivent en plus de cela une formation accrue de six mois, visant à peaufiner leurs talents martiaux et surtout à les adapter aux créatures. Une fois cette formation achevée ils entrent au service de l'évêque auxquels ils doivent une profonde loyauté, mais rien de plus. Ils ne sont ainsi pas tenus de respecter des sacerdoces particuliers, reçoivent une paie bien supérieur à la solde d'un garde ou d'un soldat et enfin bénéficient d'un équipement de bonne qualité, généralement constitué d'une armure de métal partielle, d'une hallebarde, ainsi que d'autres armes en fonction de l'individu.

Ces hommes sont ainsi d'habiles combattants individuellement, mais ils se montrent particulièrement efficaces en groupe, faisant preuve d'une grande coordination et d'une bravoure conséquente, galvanisés souvent par les prêches des évêques. Cependant il est à noter qu'étant recruté directement par le prélat ou ses subalternes, leurs compétences changent grandement d'un territoire à l'autre. Bien que leur talent et leur efficacité demeure, il advient que certains évêques peu scrupuleux engagent des hommes de peu de morale dans cette troupe et s'en servent comme des hommes de main fidèles pour les basses besognes.

-Ingénieurs technologiques

Depuis l'aube des temps les humains ont toujours davantage cherchés à progresser que les autres races de monstre. Cependant alors que la culture humaine est à son apogée, force est de constater qu'en de nombreux domaines les monstres demeurent supérieurs : force, vitesse et plus particulièrement particulier dans la maîtrise des différentes magies (si ce n'est celle relevant des divinités). Cet écart étant simplement dû à la condition de naissance des montres, le clergé a cherché des moyens de parvenir à les supplanter ou tout du moins à compenser cet écart. La solution qui leur apparue fut un art nouveau, du moins parmi les humains, à savoir l'usage de connaissances physiques et techniques pour arriver à des résultats impressionnant, parfois similaires à ceux obtenus par la magie, mais sans que l'usage de la chose ne requiert de dons particuliers où ne puise dans une énergie magique quelconque. Ainsi sont apparus la poudre explosive, les canons, puis les pistolets...

Toutes ces inventions furent créées par des ingénieurs au service de l'Eglise, car les petites gens perçoivent cette technologie comme une sorcellerie, quant aux nobles, ils y voient un danger pour leur autorité, puisqu'avec la technologie même le dernier des gueux n'aurait plus à craindre leur lame. Seul le clergé a donc la volonté, ainsi que les moyens en vérité, de progresser dans cette voie qui à ses yeux est la clé de l’extermination des monstres. Pour se faire elle enrôle, de gré ou de force, tout individu qui s'y aventure afin de faire progresser l'humanité dans cette voie, qui néanmoins prend un tour bien différent de ce qu'on fait les gnomes et les nains.

-Les pistoliers.

L'Eglise ayant le quasi-monopole de la technologie il en va de même pour les armes à feu, si ce n'est quelques rares pièces, souvent de moindre qualité, qui transitent de marchés en marchés. Or si les pistolets de bonne facture sont tous employés pour équiper les inquisiteurs, les évêques bénéficient eux aussi de la puissances des armes à feu et cela en usant des pistolet de moindre qualité, mais aussi d'une autre arme, trop encombrante pour leurs rivaux, le mousquet.

Plus puissante et bénéficiant d'une meilleure portée que le pistolet, le mousquet n'est cependant utilisable que dans une formation défensive ou des batailles à grande échelles auxquels sont peu confrontés les inquisiteurs, contrairement aux évêques. Ceux désignés pour les manipuler sont principalement choisis parmi les éléments les plus anciens et fidèles des garde sainte constituée par les évêques, qui ainsi s'assurent que cette redoutable puissance ne sera pas utilisé contre eux. Ces hommes s’entraînent une année durant au maniement des mousquets, et les plus prometteurs d'entre eux, qui auront ainsi également la fonction d’officier, se distingueront par le port des pistolets de moins bonnes factures. Ils seront ensuite, une fois leur formation achevée, adjoints au reste de la garde sainte, dont ils conservent les protections, ainsi que les connaissances du combat au corps à corps si jamais leurs armes à feu venaient à leur manquer, d'où la courte lame aux flancs et l'écu dans le dos qu'ils conservent en permanence. Enfin il est à noter que chacun d'entre eux, en plus des réserves de poudre et de balles nécessaires à l'usage du mousquet, possède une charge de poudre semblable à celles créées lors de la guerre de l'arcane, dont la mèche peut être allumé et qui peuvent être projetés pour créer une explosion mortelle.


-Les clercs de batailles

Au sein de ceux se dévouant à la prêtrise ou au monastère, la majorité apprennent un peu de magie sacrée ou de soins, et généralement rien de plus. Mais régulièrement il advient que parmi ceux se dédiant à servir la religion apparaissent des individus dotés d'une puissante affinité avec la magie et cela serait un gâchis que de conserver leur potentiel restreint dans l'isolation d'un monastère ou la prêche d'une église. Dès que leurs dons se manifestent, les individus concernés sont emmenés à la capitale, dans le palais même du pape où ils reçoivent une formation particulière pour maîtriser leurs pouvoirs. Il est à noter que dans ce processus de recrutement ne sont nullement impliqués les inquisiteurs, dont les dons pour la magie seront de toute façon exploités.

Une fois qu'ils sont jugés aptes à user de leurs pouvoirs les clercs de batailles sont mis au service des évêques comme conseillers et auxiliaires pour les aider à diriger leurs territoires ainsi qu’à appuyer la garde sainte en cas de besoin. Arborant une tenue proche de celles des moines, ils sont les manieurs de magie les plus puissants de l’Église, pouvant aisément bénir ou soigner des dizaines de personnes à la fois ou déchaîner la puissance des dieux sur leurs adversaires. Il est par ailleurs à noter que nombre d'évêques et archevêques étaient d'anciens clercs de bataille.

-Les franches lames

Les franches-lames forment une force armée un peu particulière de l'Eglise. Nullement sous l'autorité des évêques, ni sous celles des inquisiteurs, ils n'obéissent qu'au pape lui-même et ne sont pas non plus clercs. Il s'agit en vérité d'aventuriers aux exploits particulièrement remarquables, et remarqués, qui ont été invité par le souverain pontifical à le servir, une offre qui n'est que rarement déclinée au vu du prestige et de la richesse assurée pour guère plus que ce qu'ils font déjà. Cependant, il ne s'agit pas là d'une excentricité du pape, mais surtout d'une façon de s'assurer pour lui que ces individus aimés du peuple ne se retournent jamais contre l'Eglise et entraînent avec eux ceux leur vouant une intense admiration, ou encore qu'un noble ne les approche et ne les engage pour son propre compte, détournant ces aventuriers de leurs tâches pour s'en servir contre les autres nobles.

Qui plus est le clergé en a aussi une utilité pratique. N'ayant de compte à rendre qu'au pape et n'ayant pas autant d'attaches que les paladins, les évêques ou les inquisiteurs, les franches-lames sont les individus employés pour partir à la découverte de territoires encore inconnu de l’Église ou encore s'acquitter de tâches que le pape les juge seul capable d’accomplir. Leurs talents et leurs armements sont très variés, mais il est évident qu'il s'agit de l’élite des aventuriers et qu'en tant que tel il convient de ne pas les sous-estimer.

-La marine cléricale.

La majorité des territoires d'Amessa ont assez de surface terrestre exploitable pour que leur intérêt à l'égard de la mer soit limité, en plus du fait que cette dernière est le territoire de monstre que flèche et épées ne peuvent atteindre. En effet s'il existe bien des villages de pêcheurs et quelques villes sur les côtes, le continent n'a durant longtemps jamais développé une véritable activité marine. Cependant les choses commencèrent à changer quand l’Église entama sa croisade contre les monstres, car les éliminer de la terre n'était pas suffisant : il fallait aussi les traquer dans les airs et en mer. Ainsi furent créés dans un premier temps une flottille de barges pour traquer les créatures dans les rivières.

Puis le phénomène s'accentua avec les invasions des nordiques sur les territoires d'Amessa par la mer et l'alliance qui s'ensuivit. Usant tout d'abord du savoir-faire nordique, les barges cédèrent place à des navires inspirés des drakkars, pouvant naviguer dans les cours d'eau à l'intérieur des terres.
Mais si les navires des rivières ont été apportés par les nordiques et demeure leur spécialité, Amessa, dans sa traque aux créature et sa quête de conquête des autres territoires a bien plus développé un autre aspect de leur marine, celles de navire de hautes-mer. N'étant surpassé en ce domaine que par les royaumes insulaires en terme de qualité, ils possèdent une flotte de grande taille composé de nombreux navire de guerre de tailles variables. De la frêle frégate à l'imposant galion, tous sont néanmoins équipés pour la guerre et en particulier pour tuer les monstre. Pour se faire ces navires possèdent aussi bien des dispositifs leur permettant d'affronter d’autres navires que de traquer les monstres, même en leur territoire. On distingue ainsi 6 types majeur de navires :

Le traque-fleuve est un navire à fond plat, inspiré dans sa structures des drakkars viking. Dôté d'une unique baliste pour armement, ce navire présente la particularité d'avoir de nombreuses lames placés horizontales sur sa proue. Leur fonction est de patrouiller le long des fleuves pour tuer les créatures en progressant ou les forcer à fuir. Ils opèrent osuvent en duo afin de traverser un cour d'eau

Les purificateurs : embarcation de hautes mers, plates et larges. Ces navires dépourvues de voiles progressent à la rame. Cela leur confère un volume réduit, moins à même d'être atteint par des tirs, mais les prive aussi d'une certaine mobilité, mais c'est un défaut amoindrie par l'absence de matériel lourd ou d'armement au sein du navire. Cela se justifie par le fait que ces embarcations ont pour fonction de déverser sur leur sillage un poison des plus toxique, mais qui se dilue rapidement, afin de tuer les créatures de la zone sans rendre cette dernière impropre à l'exploitation. Ces navires peuvent aussi être convertie en brûlot, auquel cas, leur incendie et explosion crée un nuage toxique qui peut facilement affecter l'équipage des navires proches, ce qui expliquent qu'ils sont souvent tenue éloigné des autres navires. Leur équipage est souvent composé de créature artificielle, sacrifiable.

Les furies-célestes : Navire élancé, doté de grandes voiles et de rames puissantes, cette embarcation a été conçu afin d'être des plus rapide. Doté d'un équipage d'une dizaine d'individus, le seul poids important en ce navire est constitué de quatre balistes légères, une à bâbord, une à tribord, une à la proue et une à la poupe et chacune d'entre elle bénéficiant d'une certaine mobilité, ainsi que deux trois tirs avant rechargement, un puissant au centre, et deux plus petits sur les flancs de la baliste, à la précision et à la puissance réduites, mais utiles contre les nuées. Pouvant ainsi se défendre de chaque côté, le rôle de ce navire est de terrasser les créatures volantes.

Les inquisiteur : Navire plat au pont très bas armé de canons légers, dépourvu de mats et donc progressant à la rame, sa particularité est d'avoir une partie importante de sa structure qui est immergée et avec quelques surface transparente, chose rendue possible par magie. Cette apparence à deux usages. Le premier est qu'à l'aides des mages souvent présents dans ce navire et agissant depuis la partie immergé ce dernier est le plus à même d'affronter les créatures immergées, ou de forcer ces derniers à faire surface. Le second est que de par son apparence, il est très dur pour des navires adverses d'ajuster un tir pour l'atteindre, ce qui le rend particulièrement efficace en bataille navale.

L'archange des mers : Navire aux proportions démentielles, haut comme …. et large de.... Ces vaisseau gigantesque ont été expressément conçu pour terrasser les plus grandes des créatures marines. Caractérisé par une puissance de feu incroyable, rendues possible par l'usage d'une puissante magie, ces vaisseaux sont néanmoins fragiles, car si le bois est épais et robuste,s la moindre faille a des conséquences désastreuses. Ils sont également très lents, que ce soit dans leurs déplacements, ou dans leur cadence de tir, un tir étant possible seulement une fois toutes les vingt minutes.
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